Les femmes des forces de l’ordre en colère continuent leur mobilisation.

Alors que s’est ouvert cette semaine le procès de 9 personnes devant le tribunal correctionnel de Paris pour avoir incendié une voiture de police en 2016 et avoir attaqué à coup de projectiles de barres de fer des policiers, les femmes des forces de l’ordre en colère continuent de se mobiliser et à se faire entendre notamment pour défendre les conditions de travail des hommes sur le terrain.

Crée en juin dernier l’association FFOC (femmes des forces de l’ordre en colère) prend de l’ampleur et s’étend rapidement des CRS aux policiers et militaires dont les conditions de travail sont déplorables et minimisées selon elles par la hiérarchie.

Ingrid Podgorniy membre de l’association FFOC dans le grand Est au micro de Radio 8 .

La FFOC demande aujourd’hui l’amélioration des conditions d’hébergement lors des opérations et la mise en place d’une journée nationale des forces de l’ordre afin de leur rendre hommage et rappeler que sous l’uniforme se trouvent des hommes et des femmes qui obéissent à des ordres et font leur travail.